La série « LUM » est le fruit
d’une réflexion pour ouvrir
la voie sur un art cinétique teinté de lyrisme
et s’affranchie ainsi d‘une géométrie radicale.
Ici le sujet a une racine organique, voire cellulaire,
qui prend son origine dans le questionnement de l’apparition
de la vie à partir de composants inertes.
L’animation des mobiles en suspension, provoquée par
de simples courants d’air, induit chez le spectateur
l’illusion d’un chromatisme vibratoire.
Ainsi premier plan animé et second plan fixe s’associent pour offrir une palette
sensorielle. Le jeu purement aléatoire des mobiles contribue ainsi au
renouvellement permanent de la cinétique de l’œuvre.